Lundi 30 mars et mardi 01 avril, à l’Espace Laurent Bonnevay, s’est tenue la 2ème édition de la Modélisation des Nations Unies du lycée Chevreul Saint Didier.
Cette année les élèves de spécialité HGSSP (ainsi que quelques participants hors spécialité) ont été amenés à travailler à la résolution d’une crise frontalière au Cachemire. Cette crise fictive éclatait entre l’Inde et le Pakistan et se basait en grande partie sur le lourd passé partagé par les 2 États « ennemis ».
Durant 2 jours les élèves ont dû représenter leur délégation nationale au sein du CSNU (Conseil de Sécurité des Nations Unies) constitué pour l’occasion. Ils ont pu s’appuyer sur les recherches faites en amont et sur certaines parties du programme à l’étude en Première et Terminale. Pour cette édition ils ont aussi dû s’adapter pendant leur travail à des événements fictifs imposés par les coordinateurs du projet, renforçant l’aspect immersif et ludique de l’exercice.
À l’issue de la 1ere journée se sont notamment tenus des discours officiels de très grande qualité, en présence des familles des participants et de certains camarades.
La 2ème journée a été celle de débats riches et parfois sportifs entre délégations, et surtout celle de l’adoption d’une résolution cherchant à contenir la crise.
Nous tenons à remercier la ville de Saint-Didier-au-Mont-d’Or pour son aide à la réalisation de cet évènement.
Merci surtout à tous les élèves qui ont rendu la tenue de cet exercice possible.
Clément Drut, professeur d’histoire et géographie.
« 3 h de débats entre délégations ont précédé les débats au micro. »
« C’était très intéressant de toucher du doigt la façon dont se passent les relations internationales. Il y avait deux pays majeurs dans cette crise, l’Inde et le Pakistan, mais finalement nous avons compris que c’étaient souvent les grandes puissances qui intervenaient pour régler les conflits en fonction des intérêts des uns et des autres. »
« Cette simulation et tout le travail qui a précédé m’a permis de m’intéresser davantage aux informations internationales et de mieux les comprendre lorsque j’écoute les infos. «
« Pour certains d’entre nous, cela a participé au choix des études que nous entreprendrons après le Bac, moi par exemple, j’aimerais étudier le droit ».